Leur dernier bal

Publié le par DoDeKa

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Un fait divers en été !

Samedi 24 Juillet, Le festival Techno de Duisbourg, une fête de revendication homosexuelle, la « Love Parade », s’emballe…


On s’en tape mais cette fête est née en 1989 avant la chute du mur de Berlin. 500 blessés, 21 morts, un tunnel, de la chaleur, une direction, des milliers de personnes qui rebroussent chemin et qui tombent face à un mur humain. Tout cela se passe dans une seule entrée comme un anus.

Une survivante nous raconte l’emballement :


« C’est de là que c’est parti. Tout a commencé dans le grand tunnel tout noir. J’ai fait tomber un petit objet de ma poche et tout s’est emballé. J’ai embouti le cul de Martine qui s’est pris dans les pieds de Jürgen qui s’est accroché à la veste de Gina qui a marché sur la gueule de Stanislas… » Tania, adoratrice d’objets en latex orange.


Le site pouvait accueillir 250 000 personnes, il y a en a eu 1 million et demi. De là découle naturellement, piétinement, bousculade, carambolage, collision, escalade, télescopage, accrochage, désordre, chaos, je dirai plutôt holocauste ou sacrifice…


J’ai eu le maire de Duisbourg, Adolf Sauerland, en visioconférence le lendemain de l’accident :

« - Alors Adolf, on génocide les jeunes maintenant en Allemagne ?

- Bin, oui il faut bien changer un peu. Sinon les gens se lassent, nom de dieu de Shnell de jeunes pédés.

- Ah, d’accord ce n’est pas les jeunes que vous essayez d’exterminer mais les homosexuels.

- Tout ça c’est la même chose… Tous les jeunes sont pédés de nos jours, ils s’habillent en fluo et danse sur de la musique sidaïque. Ça sent la pandémie ces choses là, il fallait lancer un message fort contre cette population.

- C’est pour ça que vous avez mis seulement une échelle pour sortir du site. C’est vrai qu’un million et demi de personnes sur une petite échelle, on sait que ça fera du grabuge, ça tient du génie votre histoire.

- Oui, je me débrouille, bon j’te laisse Dodek’, tu m’rappelles pour un after un de ces soirs et ramènes moi des jeunes pédés qu’on les tienne en laisse. »

 

« L’homosexualité s’est fait piétiné la face, ils ont marché sur nos bites et s’en réjouissent » DoDeK’banane

Publié dans DoDeKa l'éraste

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