Je sens le fromage ?
Après une conférence sur les maladies orphelines en RDA, j’ai fait le mur et j’ai rencontré notre amie Camila à l’avenir rapé.
1 personne sur 50 000 000 serait touché par le syndrome de l’odeur du poisson appelé communément la « Vachekirite ». Comble de malchance, c’est sur la jeune Camila, Allemande au physique appréciable que ça tombe. Promis à un destin assez agréable, fille intelligente, jolie, elle aurait tout pour plaire. Oui mais voilà, elle pue la merde ou plutôt le fromage.
Elle n’y peut rien, c’est physiologique. Elle a tout essayé, le spray, l’eau de Cologne, la combinaison de plongée mais rien n’y fait, et quand bien meme elle se chie dessus elle ne s’en rend même pas compte.
A l’école, ses petits camarades et ses professeurs n’étaient pas très compréhensifs.
Elle évoque ses souvenirs douloureux: «Un jour, un prof m’a demandé si je me douchais régulièrement avant de me punir en me plaçant au coin un long moment». Quelques années plus tard, la situation empire encore: «On m’a quasiment lapidée avec des sandwiches au thon», se souvient-elle.
« Un jour, j’ai réussi à ramener un Homme à la maison. Je n’ai pas compris mais il ne se rendait pas compte de mon odeur et semblait aimer me lécher tout le corps. J’ai compris en me réveillant vers 5h du matin. J’étais enduite de beurre et il m’avait mise entre deux tranches de pain. Je ne l’ai jamais rappelé », raconta t-elle toute émotionnée.
D’un point de vue génétique, elle avait des prédispositions. « C’est vrai, déjà, ma mère sentait le poisson mais au moins elle, elle avait un boulot en ville, un contrat avec la fourrière pour ramasser les chats errants. Moi je sens le fromage, qu’est-ce que je peux bien devenir, Hollandaise ou pire Française ? »
Je conclurais en citant le célèbre dicton iranien :
Femme Kiri femme lapidée
http://www.youtube.com/watch?v=m9_o16ZE3sY&eurl=http%3A%2F%2Fwww.20min.ch%2Fro%2Fnews%2Finsolite%2Fstory%2F-Je-sens-le-poisson-pourri--27925129&feature=player_embedded
Elle n’y peut rien, c’est physiologique. Elle a tout essayé, le spray, l’eau de Cologne, la combinaison de plongée mais rien n’y fait, et quand bien meme elle se chie dessus elle ne s’en rend même pas compte.
A l’école, ses petits camarades et ses professeurs n’étaient pas très compréhensifs.
Elle évoque ses souvenirs douloureux: «Un jour, un prof m’a demandé si je me douchais régulièrement avant de me punir en me plaçant au coin un long moment». Quelques années plus tard, la situation empire encore: «On m’a quasiment lapidée avec des sandwiches au thon», se souvient-elle.
« Un jour, j’ai réussi à ramener un Homme à la maison. Je n’ai pas compris mais il ne se rendait pas compte de mon odeur et semblait aimer me lécher tout le corps. J’ai compris en me réveillant vers 5h du matin. J’étais enduite de beurre et il m’avait mise entre deux tranches de pain. Je ne l’ai jamais rappelé », raconta t-elle toute émotionnée.
D’un point de vue génétique, elle avait des prédispositions. « C’est vrai, déjà, ma mère sentait le poisson mais au moins elle, elle avait un boulot en ville, un contrat avec la fourrière pour ramasser les chats errants. Moi je sens le fromage, qu’est-ce que je peux bien devenir, Hollandaise ou pire Française ? »
Je conclurais en citant le célèbre dicton iranien :
Femme Kiri femme lapidée
http://www.youtube.com/watch?v=m9_o16ZE3sY&eurl=http%3A%2F%2Fwww.20min.ch%2Fro%2Fnews%2Finsolite%2Fstory%2F-Je-sens-le-poisson-pourri--27925129&feature=player_embedded